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Geneworld.net>Fan-fictions>Dark fullmetal>Fiist, la cité des cieux

06 - DÉRAPAGE II – «LES CORBEAUX» PAR DARK FULLMETAL

Plusieurs heures s’étaient écoulées depuis que les hommes de Fiist s’étaient enfuis d’Hirmonia. Ils avaient fait route vers l’Est en direction de Maltea, un pays neutre. Seulement, passer la frontière avec des véhicules militaires d’Hirmonia volés ainsi qu’une armure mobile de Fiist ne semblait pas envisageable, surtout qu’un avis de recherche avait sans doute été donné à leur encontre. Les militaires de la cité céleste avaient donc décidé après s’être concerté avec Hilon qui avait une certaine connaissance de la région, de se réfugier dans un canyon proche de la frontière, le Serezeil, au fond duquel ils pourraient dissimuler leurs appareils de guerre. Le fond du canyon demeurait relativement large. Il abritait le lit de la Zeil, l’une des branches du Tigre qui était le fleuve le plus important de la région, et permettait à des engins de l’envergure de l’hikan de s’y engouffrer sans problèmes. La particularité de cette vallée rocheuse venait avec sa hauteur, car en se rapprochant de la surface les parois se resserraient dangereusement. La petite troupe de Fiist était donc bien camouflée, mais cela n’écartait pas totalement le risque de se faire repérer.
La nuit était tombée depuis plus de deux heures. Ils avaient alors installé un campement provisoire qu’ils pourraient démonter rapidement en cas d’urgence. Par chance, les véhicules d’Hirmonia étaient équipés de façon à pouvoir faire un briefing sur le terrain. Le major Howard prit place au bout d’une table sur laquelle étaient disposées plusieurs feuilles : une carte de la région avec les différentes villes et bases militaires, quelques clichés de ces bases ainsi que différentes données concernant les forces alliées et ennemies. L’adjudant-chef Bersk se plaça à droite du major; placé à gauche d’Howard, se fut le sergent Miles. Les autres soldats dont Sleya, Jirroh et Jokan surnommé « Joke », se mirent tout autour de la table de briefing. Avec Hilon, ils formaient une poignée d’une quinzaine d’hommes.
-Bien, fit le major. Nous avons dors et déjà envoyé nos coordonnées à Fiist par messages cryptés, ainsi que les détails de notre situation. Les ondes de toute la région sont sûrement déjà couvertes par l’armée hirmonian.
-En attendant de recevoir une réponse de la part de nos supérieurs, ajouta Bersk, nous allons camper ici. Ils devraient nous envoyer des renforts de là-haut. Vu qu’ils ont toléré qu’Hirmonia éxecute des manœuvres et des tests militaires dans notre zone de surveillance aérienne, ça m’étonnerait qu’ils ne bronchent pas en voyant qu’ils ont voulu nous faire prisonnier.
-Jusque là, reprit Howard, nous allons devoir patienter. Comme nos réserves en vivre sont moindres nous devrons nous rendre dans les villes des alentours.
Il pointa plusieurs endroits sur la carte avant de reprendre.
-Nous formerons des groupes de trois à cinq personnes. Chaque groupe ira dans une ville ou un village différent pour minimiser les chances de se faire prendre par l’armée. Les seules indications qu’ils ont sur nous, je l’espère en tout cas, sont trop insuffisantes pour qu’ils ne nous repèrent si on se déplace en petits groupes.
-Heuuu… par rapport à ça, fit un soldat, ça ne risque pas de le faire si on se balade avec nos uniformes.
-Sans oublier qu’on a à peine de quoi se payer un petit déjeuner…
-Avec l’argent du pays en plus. A moins qu’on aille jusqu’à Maltea et qu’on trouve une station de change, mais ce serait assez étonnant.
-On a pensé à ça, répondit le sergent Miles. Et on va devoir jouer à un petit jeu.
-Génial, je vois déjà ce que c’est… soupira Jockan.
-On n’a pas le choix, remarqua le major, même si ça ne me plaît pas vraiment c’est la seule chose qu’on puisse faire pour le moment, si on ne veut pas se faire tuer.
-D’ailleurs, reprit Bersk, on commence dans quinze minutes. Préparez vous à décoller.

Cinq points lumineux traversèrent le ciel noir au dessus du canyon. C’étaient cinq gilgameshs de l’armée d’Hirmonia, cinq parmi la centaine déployée dans tout le pays pour retrouver les hommes de Fiist. Une certaine agitation secouait la capitale. La Garde Améthyste avait renforcé ses positions aux portes de la ville et avait littéralement restreint son accès, passer le pont suspendu était devenu impossible et personne ne pouvait sortir de la cité. Helena était retenue prisonnière comme tant de touristes, de personnes de passage ou de commerçants. La seule chose qu’elle pouvait faire était de patienter jusqu’à ce que la situation s’améliore et que la ville ouvre de nouveau ses portes.




CHAPITRE 6
Dérapage II – «Les Corbeaux»




Trois ombres se déplaçaient furtivement dans la nuit, elles se dirigeaient vers le premier village au Nord du canyon en évitant les routes principales et illuminées. Des convois militaires qui venaient des bases affiliées à la capitale patrouillaient constamment entre chaque ville et sur toutes les routes du pays.
Les trois hommes de Fiist atteignirent Seroza au bout de quelques minutes de course. Seroza était un village assez important de par sa taille et surtout grâce aux personnes haut-placées qui y avaient construit leurs demeures. C’était un village bien gardé. Même s’il n’était pas entouré d’une muraille comme la capitale et plusieurs grandes villes, des postes de garde avaient été construits aux entrées Sud, Est et Nord-Ouest. Ces entrées demeuraient les trois seuls accès à Seroza car le village était bâtit sur une île au milieu de la Zeil.
Les trois ombres, qui étaient Jirroh, Sleya et Hilon, longèrent le fleuve jusqu’à atteindre le poste de garde de l’entrée Sud du grand village. Ils se dissimulèrent derrière les arbres et buissons qui bordaient la route traversant le poste de garde et s’arrêtèrent pour analyser la situation.
-Cinq gardes et deux hommes pour chaque tourelle, fit Jirroh. Ils ont bien renforcé leurs effectifs.
-Neufs hommes? Je trouve ça un peu excessif pour un village, commenta Sleya.
-C’est à cause des Nobles, expliqua Hilon. Il y a des familles de militaires importantes qui habitent ici ainsi que des personnes politiques. D’ailleurs, l’espèce de château en haut de cette colline, dit-il en montrant de la main une énorme bâtisse éclairée qui se trouvait à trois cent mètres à l’Ouest du poste de garde, c’est la résidence d’une famille de Cavaliers.
-De «Cavaliers»? répéta Sleya.
-Les pilotes de gilgamesh des Gardes de l’armée d’Hirmonia.
-Tu en sais des choses, ma parole! s’exprima Jirroh.
-C’est Helena qui m’a appris tout ça…
-Helena? fit Sleya. Celle avec qui tu étais quand je t’ai retrouvé? Elle est plutôt mignonne!
-Ouais! J’ai eu le temps de la voir avant que les autres abrutis nous tombent dessus!
-Vous n’êtes pas que des amis hein? Oye Jirroh, t’avais vu les regards qu’elle lui jetait?!
-Bien sûr! Ca m’a rendu jaloux sur le coup, y’a pas de femmes qui me regardent avec de tels yeux… Ah! j’veux tout savoir! Elle t’a fait des avances?
-Ouais! tu l’as draguée?
-Elle t’a charmé avec ses beaux yeux?
-Vous vous êtes fait des bisous??
-Vous avez… hein?
-Hein ?!
-Ça va être difficile de passer ces types quand même, dit simplement Hilon et feignant de ne pas les écouter.
-Change pas de sujeeeeet ! s’indigna Sleya.
-Non il a raison, fit Jirroh, on ne doit pas perdre de temps. On a un objectif à atteindre et on n’a pas de temps à perdre. On doit finir « ce jeu » dans les temps.
-Quel espèce de délire tordu n’empêche ! Ce n’est que de l’infiltration simple et bourrine. Ah, d’ailleurs ! Pourquoi est-ce qu’on n’y va pas comme des brutes comme les autres fois ?
-Parce qu’on n’est pas armés.
-Sérieux…
-Et puis là, ce sont des installations civiles qu’on vise. Tu m’étonne que le major n’aime pas avoir à faire ça…. Bon. Sleya, Hilon, assez jacassé !
-C’est pourtant toi qui parlait le plus… soupira Hilon.
- Sleya, reprit Jirroh, désolé, mais tu vas nous servir de chèvre.
-Heeeein ?? Non non non, j’suis pas d’accord ! J’veux qu’on tire à la courte paille !

-Putaaain ! Sans déconner !
Sleya courait vers les cinq hommes du poste de garde, non sans appréhension. Il ne laissait rien paraître mais ressentait en réalité une angoisse non négligeable, son cœur battait à toute allure et il scrutait chacun des gardes, même ceux des deux tourelles, avec de l’inquiétude dans le regard. Il jouait l’appât malgré lui, et il détestait ça.
Le haut de son uniforme avait été déchiré à plusieurs endroits, surtout là où étaient sensés se trouver les insignes précisant son grade, le régiment et l’armée auxquels il était assigné ; son visage était rouge suite à des coups qu’il avait subit et du sang coulait du coin de ses lèvres et au niveau de son arcade gauche ; il avait également de la terre et d’autres traces de lutte sur la peau et ses vêtements. Lorsque les soldats de Seroza le virent, ils braquèrent leurs armes sur lui et le sommèrent de s’arrêter ; il n’en fit rien et continua sa course tout en appelant à l’aide. Les complaintes répétitives et prononcées de l’individu forcèrent les gardes à baisser leurs armes et à attendre qu’il arrive à leur hauteur pour l’écouter. Une fois en face d’eux, Sleya leur expliqua qu’il avait été agressé par des militaires vêtus d’un uniforme inconnu ou du moins étranger à ceux de l’armée d’Hirmonia. A cette description, les militaires de Seroza se concertèrent avec urgence et laissèrent Sleya à son compte ; mais ce dernier profita de cette légère agitation pour agripper le garde le plus proche, l’assommer puis récupérer son arme avant d’en attaquer un second. Hilon et Jirroh arrivèrent à ce moment précis par les deux flancs du poste de garde et s’occupèrent des trois autres hommes. Lorsque les quatre soldats qui gardaient les tourelles se rendirent compte qu’ils étaient attaqués, les trois hommes de Fiist allaient déjà à leur rencontre et ils les neutralisèrent sans que les gardes ne puissent réagir.
-Il s’en est fallu de peu mais on a quand même réussi sans trop de problèmes, lâcha Jirroh dans un soupire. Désolé Sleya.
-Ces excuses me paraissent déplacées.
-En effet. On continue l’opération.

Ils récupérèrent chacun une arme, cachèrent les soldats inanimés dans les tours de garde et repartirent furtivement vers le centre du village.
-Pourquoi tes excuses seraient déplacées ? demanda Hilon à Jirroh.
-On a tiré à la courte paille, c’est le jeu. T’es aussi à l’Université, vous ne faites pas ça vous ?
-Non. Il faut croire que ceux de ma promotion ne sont pas très…
-Et puis, reprit Jirroh, la dernière fois qu’on a tiré entre lui et moi, c’est moi qui m’y suis collé. Alors maintenant on est quittes.

-On va passer par les toits, dit Hilon, comme les maisons sont collées les unes aux autres ça ne nous posera pas trop de problèmes pour nous déplacer. Et par la même occasion on évitera les patrouilles nocturnes.

Un peu plus tard, ils atteignirent la Grand-place au centre de Seroza. C’était la place commerçante du village, là où la majorité des boutiques et des marchés étaient placés. Au centre de la place était une fontaine gigantesque, et pas moins d’une dizaine de rues se rejoignaient à ce point du village. D’ailleurs, les rues de Seroza étaient plus agitées qu’à l’accoutumée : les gardes de l’entrée Sud ne répondant à aucun appel, une alerte de premier niveau avait été sonnée. Plusieurs groupes de cinq gardes patrouillaient sans cesse à travers tout le village en plus des patrouilles habituelles.
Les trois intrus s’infiltrèrent dans une boutique de vêtements en passant par une bouche d’aération à l’arrière du bâtiment. Ils mirent plusieurs articles dans des sacs à dos qu’ils avaient récupérés au poste de garde puis ressortirent par là où ils étaient entrés ; ils répétèrent l’opération dans un petit magasin d’alimentation de l’autre côté de la place. Avant de repartir, ils se postèrent sur un toit surélevé par rapport aux autres puis firent le point sur ce qu’ils avaient récupérés. Jirroh referma ses deux sacs puis lâcha un long soupire.
-Je suis épuisé alors qu’on n’a presque rien fait, et on n’en a pas encore fini.
-Je comprend mieux pourquoi le major ne voulait pas qu’on fasse ça, déclara Hilon. J’ai un sale poids sur la conscience…
-Moi je le vis assez bien, dit Sleya. En fait, je trouve que c’est mieux que de prendre d’assaut une base militaire.
-Si tu veux être rassuré, fit Jirroh, dis-toi qu’on va sûrement devoir s’y coller. Je ne pense pas que le major accepte de laisser notre armure aux types d’Hirmonia.
-Moi non plus, ajouta Hilon, on a passé tellement de temps sur ce projet...
-Mah, soupira Sleya… J’espère juste que les renforts seront arrivés avant. Je n’ai pas envie d’attaquer une forteresse avec seulement quinze mecs !
-Ouais, ça paraît démesuré. Oh là ! On dirait que ça s’agite en bas. Dépêchons-nous de rentrer !
Ils reprirent alors leur course sur les toits du village, tout en faisant attention à ne pas se faire repérer et en surveillant les mouvements des troupes qui s’étaient lancées à leur recherche. Il ne restait plus que deux ruelles avant d’atteindre le poste de garde Sud, mais il était inévitablement impossible de s’en approcher plus, la garde ayant été renforcée au maximum.
-Notre échappée se retrouve quelque peu compromise, dit Sleya avec une pointe d’ironie.
-On peut se passer de tes commentaires inutiles, rétorqua Jirroh. P’tain, pourquoi on est tombé sur ce village de…
-Trois brebis égarées dans la ruelle à 10h00, coupa Skeya. Ils sont armées.
-Nous aussi.

-Merde ! Où est-ce qu’ils sont passés ? Vous avez vraiment fouillé toute la ville ?
-Nous n’avons rien signalé mon Caporal.
-Comment est-ce possible… Je retourne au QG demander une patrouille aérienne en plus. Pendant ce temps retournez patrouiller dans Seroza et étendez les recherches à l’extérieur ! Les unités 5 à 7, faites une ronde autour de la ville pendant 15 minutes puis venez rendre votre rapport !
-Bien !
-Ho ! L’unité 6, qu’est-ce que vous attendez ?! Bougez-vous !
-Oui Caporal !
Les trois unités sortirent alors de l’enceinte du village au pas de course pour retrouver les trois hommes de Fiist. L’unité 5 partit un peu plus au Sud, la 6 à l’Est et la 7 à l’Ouest. Lorsqu’ils furent assez éloignés des autres gardes, les hommes de l’unité 6 ralentirent leur course jusqu’à s’arrêter totalement ; ils regardèrent autour d’eux pour s’assurer qu’ils étaient bien seuls puis l’un d’eux hocha légèrement la tête. Les deux autres firent de même puis le suivirent, sortant alors de leur parcours. Il s’enfoncèrent alors dans les bois qui entouraient Seroza en se dirigeant vers le Sud.

Au même moment, trois gardes furent retrouvés inertes dans une ruelle du village. C’était les membres de l’unité 6.
-Les fumiers ! Ils se sont bien foutus de nous !

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