Résumé : Garfield se défoule : triple lutz dans sa pâtée, claquage de portes intensif, etc. Mais, comme tous les sportifs consciencieux, il n'oublie pas de s'échauffer le pouce avant de zapper - un deux, un deux, crac, hop. Et à force, il arrive à faire ce qu'on a tous rêvé de faire un jour ou l'autre, particulièrement au moment de payer la redevance : zapper assez vite pour faire exploser la télé. Côté culture, il a une idée de film à côté de quoi Titanic fait pâme figure : des puces terrifiées par un collier anti-puces battent en retraite vers les fesses du chat, quand elles buttent contre un ceinturon anti-puces fixé à sa queue. Panique à bord ! Pour ce qui est de la gastronomie, il est toujours la tête au fond de la gamelle en train de baffrer comme un cochon - le petit doigt en l'air, c'est plus poli. Alors, imaginez son désespoir : un beau matin, Jon lui sert une carotte crue et le frigo est cadenassé. ce qui le pousse à élaborer un plan audacieux : il attache Odie à une branche d'arbre. Comme ça, Jon appelle les pompiers, qui feront (peut-être) un saut à la pizzeria en passant. Et puis voilà qu'il s'inquiète en découvrant qu'il n'a pas ronronné depuis fort longtemps. Un chat heureux ronronne, non ? Serait-il un chat malheureux ? Cette idée le déprime complètement. dieu merci, un bon coup de pied dans le derrière d'Odie, et la machine à ronron repart. Ouf, on a eu peur. |