Résumé : Le grand-père de Garfield, Otto le fou, était un pionnier. Il a fait parcourir des milliers de kilomètres à sa famille, à travers des contrées hostiles, en répétant : "J'entends un ouvre-boîte." Et si Garfield n'a rien du pionnier, il continue d'entendre les ouvre-boîtes. Avec lui, les souris n'on rien a craindre : il ne course que le gruyère. En revanche, écrabouiller les araignées demandant peu d'effort, il nous fait un génocide. Quant aux oiseaux, à la seule idée qu'ils sont en train de s'empiffrer de gros vers juteux, il les laisse où ils sont. Côté flemme, Garfield dort dix-huit heures et neuf minutes d'affilée. Ça, c'est sur le ventre. Il pense pouvoir faire mieux sur le dos. L'idée de s'amuser comme un fou lui plaît bien, comme ça, de loin. Mais pour s'amuser, il faut au moins se lever. Alors il préfère se barber. Côté coeur, les tentatives de Jon sont toujours aussi piteuses. Quand il annonce à une fille qu'elle a gagné une soirée avec lui, elle répond qu'elle aurait préféré un lave-vaisselle. Garfield, toujours de bon conseil, lui suggère de contre-attaquer avec un grille-pain. Lui, pour Noël, il a eu un pull 100% poil de vache avec pis incorporé. C'est très seyant, sur un vieux gros chat de dix-sept ans... |